Pour que vibre le bois de Chaumont !
Nous avons une occasion unique de protéger un trésor naturel de 16,5 hectares au cœur du Brabant wallon. Grâce à votre soutien, le Bois de Chaumont deviendra une nouvelle réserve naturelle où notre association pourra protéger et restaurer des habitats rares comme les landes sèches et les chênaies-boulaies sur sable au profit d’espèces emblématiques comme la bondrée apivore, le lézard vivipare, les abeilles solitaires ou de nombreuses plantes remarquables.
Le Bois de Chaumont fait partie d’un massif forestier plus vaste, intégré au réseau Natura 2000. Il constitue un corridor écologique entre la vallée de la Dyle et la Vallée de la Meuse, non loin du Parc National des Forêts de Brabant. Cette mosaïque de forêts, de landes et de pelouses sableuses accueille une faune et une flore variées. On y observe, par exemple, l’autour des palombes, plusieurs espèces de pics et le pouillot siffleur, rare dans le Brabant wallon. Le site abrite aussi une population d’orvets fragiles ou encore la grenouille rousse. Plusieurs centaines d’espèces végétales ont été recensées.
Notre projet
Le Bois de Chaumont, au-delà de son rôle écologique, abrite des vestiges archéologiques, comme des buttes funéraires de l’âge du bronze, et est traversé par des sentiers populaires. Son acquisition permettra de protéger la biodiversité, de restaurer un paysage agropastoral typique du Brabant sablo-limoneux, et de valoriser ce patrimoine pour les générations futures.
Votre don contribuera à :
• préserver les forêts anciennes et assurer une gestion durable du site ;
• restaurer les landes sèches et pelouses sur sable par des éclaircies ciblées ;
• mettre en place une gestion par pâturage extensif ou fauche pour maintenir une mosaïque d’habitats diversifiée.
Espèces emblématiques
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La jasione des montagnes est une espèce en très forte régression qui fleurit en été dans les milieux comme les landes sèches ou les pelouses sur sable. Photo ©H. Baltus |
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Le lézard vivipare affectionne les friches ensoleillées et les milieux humides. Il est ovovivipare, les œufs éclosent dans le ventre de la mère et les petits naissent formés. Photo © A. Derouraux |
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Le hibou moyen-duc chasse les micromammifères en vol ou à l’affût et préfère les paysages alternants milieux ouverts et milieux boisés. Photo © O. Colinet |
111 000 € à financer
Cette acquisition, dans le cadre du projet LIFE Vallées Atlantiques permet de densifier le réseau de réserves naturelles et la connectivité écologique de la région. Pour chaque euro donné, 4 euros supplémentaires sont financés grâce à un généreux cofinancement de la Région wallonne.
