Offrons un tremplin au retour de la loutre
Redonnons vie à la Semois ! Aidez-nous à reconnecter les écosystèmes de la vallée de la Semois, où la loutre remontre le bout de son nez. En soutenant ces projets de conservation et de recherche, vous contribuez à la bonne santé de la rivière, artère vitale du territoire, et à la création d’un environnement de qualité pour ses habitants et leurs visiteurs, aujourd’hui et dans le futur.
Le Parc national de la vallée de la Semois s'étend sur 8 communes. La Semois est l'artère vitale de cette région partagée entre de larges étendues forestières, des milieux humides et des prairies dédiées à l'élevage.
La nature omniprésente se manifeste aussi bien par des sites de grand intérêt biologique et des espèces rares comme la loutre, le lynx, ou la barbastelle, que par une nature ordinaire, elle aussi, remarquable. Pays de folklore et de légendes, ces paysages et ces villages en font un territoire unique à arpenter, vivre et protéger.
Notre projet
Trois actions clés pour conserver et restaurer la biodiversité de la vallée de la Semois et de ses affluents :
- Acquisition de 30 hectares en bord de Semois pour compléter le réseau de réserves naturelles de la Basse Semois orientale ;
- Amélioration des connaissances sur le patrimoine naturel de la région par la réalisation d'inventaires ;
- Préparation et mise en œuvre de plans d'actions en vue d'améliorer le potentiel d'accueil de la vallée de la Semois pour la biodiversité (caractérisation des habitats, compréhension des menaces, mobilisation d'observateurs permanents)
Espèces emblématiques
La loutre d’Europe se nourrit essentiellement de poissons de petite taille. Rare en Wallonie, elle a besoin d'habitats aquatiques de qualité et connectés. Photo © C. Valette - Flickr |
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Le lynx boréal, de retour en Wallonie depuis 2020, est un prédateur discret qui chasse à l'affût. La tranquillité et la continuité de son habitat sont vitales. Photo © L. Bartkowski - Flickr |
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La barbastelle d'Europe préfère les vieilles forêts feuillues. Elle chasse de petits papillons de nuit. Cette spécialisation la rend vulnérable à leur déclin. Photo © C. Robiller - WikimediaCommons |
184 000 € à financer
Cette opportunité permet de développer le réseau de réserves et les connaissances pour renforcer la santé de la Basse Semois. Pour chaque euro donné, 4 euros supplémentaires sont généreusement cofinancés par la Wallonie.